Il était sans doute prévisible que quelqu’un qui aime la poésie choisisse le vert, ou les vers, de poésie, mais pas la ver-mine, ouh là, cela se complique !
Pas le ver-tige, pas le ver-moulu, pas un ver-balisé !
Sans oublier la ver-roterie, la ver-gogne, inutile de parler du ver-millon !
Mais bien l’uni-vers, le ver-be, la vér-ité et sans doute la ver-veine dont j’ai souvent bénéficié.
Comme la monesille n’est pas simple, ce ne sont pas tous les verts qui passent le filtre. Mais juste cette couleur à la limite indéfinissable entre le bleu et le vert que l’on trouve sur certains feuillages.
Dans certaines peintures, un choix de livres, de précieuses céramiques.
Dans le reflet des eaux glacées en hi-ver, lorsque dans les remous se perçoit quelque chose qui frémit et s’apprête à jaillir, une force mystérieuse et impalpable, un prémice de l’avenir qui se prépare à émerger.
Comme un bonheur inconnu vers lequel nous nous dirigeons.
Ce post est réalisé vert-ueusement en participation au concours de Nedj pour son blog vivant et coloré.
Je ne pouvais vous laisser dans ce nid-vert qu'avec la musique de...
l'hi-ver de Vivaldi, évidement !